Fallait que je fasse ce test... Skyim
est l'un des jeux qui était le plus attendu en 2011, il a débarqué
le 11 novembre 2011... Qu'en est-il finalement? Si vous n'avez pas
vécu dans une caverne (ou que vous vous vous intéressez un minimum
aux jeux vidéos), vous connaissez déjà la réponse, sinon, lisez
la suite.
Skyrim est le cinquième épisode
officiel de la série des Elder Scroll: c'est une série connue pour
être un jeu à l'univers ouvert rempli de fantaisie où vous pouvez
faire un peu tout et n'importe quoi: devenir un bandit des grands
chemins comme un grand chevalier ou un assassin. Chaque épisode est
connu pour être plutôt époustouflant du côté graphique (moins
du côté du level design, certains épisodes sont assez vides au
niveau du décor malheureusement, enfin, surtout les premiers!) et d'avoir une durée de vie
absolument énorme. Et Skyrim poursuit la tradition.
Ça donne envie de partir à l'aventure, hein?
Le jeu prend place à Bordeciel (ou
Skyrim) sur les terres des Nordiques: une guerre fait rage entre un
groupe de Nordique, se faisant appelé les Sombrages (du nom d'Ulfric
Sombrage, j'y reviens), et l'Empire. Les Nordiques revendiquent leur
identité et leur culture et l'Empire veut imposer ses lois. Le jeu
commence après qu'Ulfric Sombrage ait assassiné le Haut-Roi de
Bordeciel avec une magie étrange: l'art de la Voix. Alors que vous
êtes sur le point de passer sur le billot et de perdre la tête, un
Dragon attaque le camp où vous vous trouvez! Ni une ni deux, vous
fuyez le camp... Et vous voilà plongé dans Bordeciel... Où vous
devrez enquêter sur le retour des Dragons! Car oui ces petites
bestioles n'ont pas été vu sur ces terres depuis quelques centaines
d'années.
"Coucou, c'est moi que voilou!"
Le scénario est plutôt classique dans
la trame principale: un événement surnaturel (enfin qu'est-ce qui
peut être qualifié de surnaturel dans un monde comme celui d'Elder
Scroll?) surgit, et vous devez en trouver la cause (et pourquoi pas,
l'éliminer.). Mais il est plutôt bien mené dans son ensemble et
vous amènera aux 4 coins de Bordeciel, vous faisant rencontrer une
foule de personnages charismatiques. Vous n'avez pas trop de contrôle
sur le déroulement du scénario, quelques petits choix par-ci par-là
au plus sur comment les personnages vous voient.
Non ce qui est vraiment bien dans
Skyrim, comme dans chaque épisode d'Elder Scroll c'est que vous êtes
libre: libre comme l'air de pouvoir vous promener pour découvrir la
carte, de parler aux gens et de pouvoir avoir des quêtes
secondaires! Ça va des quêtes simples (aller parler à quelqu'un) à
des quêtes complètement loufoques (Une nuit de folie est
particulièrement hilarante) en passant par les éternelles quêtes
« FedEx » (livrer un objet d'une personnage A à une
personne B puis retrouver un personnage C pour qu'il vous dise qu'un
personnage D a ce dont a besoin le personnage A, c'est pire que dans
l'administration!).
Contrairement aux autres épisodes,
votre réputation (badass, bienfaiteur, bandit...) n'influe pas sur
votre quête principale, ce qui pourrait constituer une petite
déception pour certains ou un soulagement pour d'autres.
La durée de vie est absolument
gigantesque, on avoisine presque la centaine d'heure pour tout finir
à fond ce qui est, à l'heure actuelle, bienvenue! Le nombre de
quêtes est gigantesque, faites attention à ne pas avoir trop à en
faire d'un coup! Vous pouvez les faire dans l'ordre que vous voulez
et le menu vous permet de choisir lesquelles afficher en priorité.
"J'aurai pas dû prendre un bouclier de bois contre un dragon qui crache du feu..."
Le système d'évolution a été plus ou moins simplifié depuis Morrowind: il n'y a plus de classes prédéfinies. les compétences (au nombre de 15, répartis en 3 grandes classes) évoluent au fil de leur utilisation: par exemple la compétence arme lourde augmente lorsque vous utilisez des armes lourdes. La compétence armure légère augmente lorsque vous portez une armure légère et que vous prenez des coups. Vous pouvez donc créer le personnage idéal à votre image: si vous jouez un voleur, vous préférerez porter des armures légères, manipuler des armes à une main et être très discret. A contrario, un barbare favorisera l'armure lourde et les armes lourdes... Les archétypes se font surtout au fil du jeu, en fonction des compétences que vous augmenterez. Donc vous aurez l'occasion dès le début du jeu de goûter à plusieurs genre de gameplay afin de pouvoir faire son choix.
Un personnage argonien qui utilise de la magie!
Une autre originalité vient de l'un des point de scénario: vous êtes un Dovahkiin, un être à l'âme de dragon. Vous êtes destiné(e) à combattre les dragons qui reviennent à Bordeciel. Dans ce cadre, vous pourrez utiliser "l'art de la Voix": en gros votre personnage produit des effets en criant. Ces effets sont diverses, cela peut-être un souffle de feu, comme une onde d'énergie balayant tous les ennemis (le fameux fus ro dah!). Cela ajoute une arme pour les combats et vous pourrez donc mener certains combats plus facilement (par exemple, les morts-vivants sont sensibles au feu, vous pourrez donc utiliser votre souffle de feu pour leur infliger des dégâts importants). D'autres cris sont disponibles, vous apportant des pouvoirs sympas. Mais pour les débloquer, vous devez trouver les mots (disposés sur des murs qui se trouvent à travers tout Bordeciel) et utiliser des âmes de dragons pour dévérouiller les mots; chaque cri est composé de trois mots que vous devrez donc débloquer.
Une petite vidéo fun de l'utilisation du Fus Ro Dah!
Skyrim est bô: c'est un constant et on
ne peut le nier. On pourrait certes regretter les vertes contrées de
Cyrodil ou les marais de Morrowind, les contrées Nordiques sont
désertes, semblables à un décor Islandais (peu de végétations
pour les lieux qui ne sont pas couverts par la neige...). Néanmoins,
l'impression ressentie lorsque l'on affronte un Dragon en plein
milieu d'une plaine enneigée est assez épique! Et puis les ruines à
visiter sont somptueuses (particulièrement les ruines Dwemer,
impressionnantes!), on se prendrait presque pour un Indiana Jones en
herbe!
Bon, le jeu n'est pas parfait et
surtout sur PS3: il buggue, il lague... Et c'est franchement pénible.
De plus les sauvegardes prennent plus de place au fil du jeu. Enfin
pas mal de bugs graphiques (mais on peut leur pardonner cela par
contre, vu l'immensité du monde) peuvent venir un peu gêner
l'aventure. (Ou bien vous faire juste rigoler comme l'image ci-dessous)
"La physique? J'emmerde la physique, je suis un cheval!"
Mais c'est un véritable cri d'amour à
l'aventure que nous ont livré les développeurs de Bethesda. Il
suffit que les patchs arrivent pour rendre l'aventure inoubliable
(non perturbée par des bugs!). Ruez-vous, vous ne le regretterez
pas!
Sur 20 os de dragons, j'en donne 19! (Et 20 le jour où le jeu ne lagguera plus sur PS3!)
Bon, vous aurez compris, ce top 10 est
personnel et vous pourrez sûrement y trouver des films qui pour vous
sont nuls. Mais que voulez-vous, les goûts et les couleurs... Enfin
vous savez quoi.
Etant donné la difficulté que j'ai eu
à classer le tout, le « mon top 10 » évolue en « mes
10 films cultes » (oui, oui, comme un Pokémon).
Kick-Ass:
Très franchement, les films sur les
super-héros sont rarement bons, la plupart sont très moyens et on
peut atteindre le fond assez rapidement (qui a dit Ghost Rider?).
Kick-Ass ne fait pas parti de cette masse de films ratés en étant
adapté.
Le film nous raconte l'histoire d'un
jeune homme qui veut jouer au héros mais qui se retrouve gravement
blessé suite à une intervention qui tourne mal. Pourtant, au lieu
de l'en dissuader, sa remise sur pied va le motiver à devenir encore
meilleur...
Réalisé par le génial Matthew Vaugn
(producteur d'Arnaque, Crime et Botanique ou de Snatch, ou encore
réalisateur du très agréable Stardust, le mystère de l'étoile),
Kick-Ass botte très franchement le cul des spectateurs: une BO
d'enfer, un film rempli plein de bonnes idées, des scènes d'action
jouissives... Bref, Kick-Ass vous accroche jusqu'à la fin.
À noter que le comics Kick-Ass est
aussi sorti en France et très franchement, j'ai préféré le film
au comic... Après c'est selon votre goût.
Scott
Pilgrim vs The World:
Une claque visuelle! Ce film a divisé
les foules: soit on aime soit on déteste, le trop plein pour les uns
est une effusion d'effets éblouissants pour les autres.
Le scénario est assez barré: pour
sortir avec la fille de ses rêves, Scott va devoir vaincre les sept
ex maléfiques de Ramona. Par ex maléfiques, comprenez avec des
super-pouvoirs.
Et très franchement, c'est juste un
prétexte pour balancer les références et les mises en scène les
plus geeks possibles. J'ai adoré et très franchement si vous ne
l'avez pas vu (honte aux distributeurs de films dans les cinémas qui
n'ont pas plus diffusé ce film!) et que vous vous sentez l'âme d'un
geek, jetez-vous dessus, c'est un ordre! Mais si vous ne comprenez pas grand chose aux trips des geeks, passez votre chemin, vous n'y verrez qu'une bouillie d'effets spéciaux.
Orgueil
et préjugé:
... Un film romantique? Il ne se serait
pas perdu? Que nenni! Au fond de mon âme de geek, je suis un grand
romantique et il m'arrive des fois de m'émouvoir devant un film
romantique bien fichu (et j'insiste sur le bien fichu).
Une histoire d'amour se déroulant sous le règne de Georges III, où deux personnes doivent passer outre leurs orgueils et leurs préjugés pour s'aimer.
Et Orgueil et
préjugé fait parti de ces films bien fichus: des acteurs
attachants, un scénario fort agréable, une ambiance bien
travaillée... Bref, si vous adorez les films romantiques, que vous
pouvez passer plus d'une heure trente sans vous moquer du premier
couple qui passe, regardez-ça et peut-être que vous aimerez.
28
semaines plus tard:
J'ai vraiment le sens de la transition
en passant d'un film romantique à un film d'horreur/action. 28
semaines plus tard est la suite du déjà mythique 28 jours plus
tard, mais pourtant il n'a pas grand chose à voir sur la forme. Sur
le fond, ça reste dans la même veine que son prédécesseur: un
méchant virus, la Fureur (rien à voir avec celle du samedi soir)
rend tous les gens atteintes d'une folie meurtrière frénétique (Et
non, ce ne sont pas des zombies!).
Le deuxième volet prend part 28
semaines après le début de l'épidémie alors que celle-ci semble
avoir décimé toute la population grande-bretonne: l'armée a
réinvesti une partie de Londres pour relancer la réhabilitation de
la Grande-Bretagne. Malheureusement le virus refait surface...
On pourrait se croire devant un banal
film de série B voir de série Z. Et très franchement, si le sang
ne vous fait pas peur, ce film vous mettra sous pression: le début
et la deuxième (voir les trois quarts du film) sont franchement
stressants. Moins psychologique que le premier, il gagne en
efficacité ce qu'il perd en profondeur des personnages et pour une
fois, je ne me plains pas du tout
au contraire.
Shaun
of the Dead:
Restons dans le thème du virus mais
cette fois, on va vers du mort-vivant avec ce petit chef d'œuvre
d'humour anglais. Réalisé par Edgar Wright (le même réalisateur
que Scott Pilgrim vs the World!) et avec le duo excellent Simon Pegg
et Nick Frost, le trio nous livre une comédie totalement ...british
avec une pointe d'horreur.
À Londres, Liz reproche à Shaun de ne
pas faire assez d'efforts pour elle (enfin surtout de ne pas
l'inviter autre part qu'au Winchester, un pub bien anglais) et menace
de rompre définitivement d'avec lui... Une invasion de zombies à
Londres va permettre à Shaun accompagné de son éternel
acolyte, Ed, de se racheter auprès de
Liz et à prouver qu'il peut être plus qu'un pilier de bar.
L'appellation « Une comédie
romantique avec des zombies » peut surprendre au premier abord,
de l'horreur avec de l'amour... Evil Dead l'avait un peu fait certes,
mais Shaun of the Dead pousse le concept jusqu'au bout... Et pourtant
ce n'est ni niais ni trop sanglant. L'histoire d'amour est assez
simple et actuel, avec (presque) aucun chichi, et le côté zombie du film est
respectueux des codes du genre: des zombies lents, idiots, patauds,
mais dangereux, un hommage au cinéma du genre. La partie comédie du film n'est pas en reste, mais
soyez mis en garde, l'humour est assez british donc il se peut que
vous n'aimiez pas. Mais si vous êtes assez ouverts, je vous
conseille de le regarder au moins une fois, vous passerez un bon
moment!
Juno:
Ah Ellen Page... Ellen Page... * bave
*.
Juno est une adolescente comme les
autres, à l'exception faite qu'elle tombe enceinte après sa
première fois. Le garçon avec lequel elle l'a fait n'est pas très
courageux et a un peu de mal à l'accepter... Juno décide donc de
faire adopter son futur bébé.
Bon, à part Ellen Page, qui est
absolument brillante dans ce film, il y a aussi Michael Cera, qui
joue aussi dans Scott Pilgrim vs the World! Le film est assez simple
au fond, pas de prise de tête, pas d'histoire compliquée, le film
se laisse apprécier sans forcer et très franchement, c'est
appréciable. Un petit film sympathique, que je vous conseille
vivement.
Sacré
Graal!
« Ekke ekke ekke ekke... ».
Si ces mots éveillent en vous la peur et autre, c'est que vous
n'avez pas vu Sacré Graal des Monty Pythons!
L'histoire reprend globalement la trame
de la légende d'Arthur et de la table ronde, Arthur part à travers
l'Angleterre du moyen-âge à la recherche d'indice pour retrouver le
Graal. Une quête qui va le mener (avec ses suivants, les autres
chevaliers de la table ronde) à la rencontre de drôles d'invidus...
Très franchement, c'est de l'humour
typiquement british: absurde au possible, des dialogues sans queue ni
tête, des situations plus invraisemblables tu meures, des
anachronismes qui font tout le plaisir... Bref, si vous ne l'avez pas
vu mais que vous aimez l'humour british (et que l'anglais ne vous
rebute pas, la version anglaise est fortement conseillée!),
jetez-vous dessus.
(Pas de bande-annonce mais une séquence hilarante!)
La
Saga Alien:
Bon là je triche un peu, je met 4
films pour le prix d'un. Mais l'oeuvre intégral vaut le coup.
Attention, je n'inclus pas du tout les films Aliens vs Predator dans
la saga Alien.
La Saga Alien suit Ellen Ripley, une
femme qui se retrouve tout au long de la saga confronté à des
extraterrestres très agressifs: les Aliens.
Je ne vous résume pas chaque épisode
de la saga histoire de ne rien vous spoiler si vous n'en avez vu
aucun, mais très franchement, Alien est une saga qui a fait date
dans l'histoire. Dans son esthétique déjà, les zones infestés par
les Aliens revêtent un aspect organique qui épouse les machines
d'une telle manière que c'est à la fois repoussant et intrigant,
l'Alien également est magnifique esthétiquement parlé, un des
monstres les plus réussis du cinéma, si ce n'est le plus réussi.
Effrayants et en même temps fascinants, les Aliens fichent vraiment
la pétoche par leur côté imprévisibles (ils rentrent dans tous
les endroits même les plus étroits et ce malgré leur taille),
agressifs (ils ne lâchent jamais vraiment leur proie) et
intelligents (ils comprennent des mécanismes évolués), ce sont les
chasseurs parfaits.
Le suspens est au rendez-vous et la
saga alterne entre épisodes remplis d'actions (Aliens le retour et
Alien 4 la résurrection) et épisodes oppressants (le 1 et le 3) et
chaque film vaut son pesant d'or. Mais mon petit préféré est le 3:
d'une esthétique vraiment dégoutante mais attirante, le 3 est le
vraiment flippant, violent, un scénario haletant, un travail du
rythme maitrisé (malheureusement, Fincher n'a pas travaillé
jusqu'au bout sur le montage, qui sait ce qui serait arrivé sur nos
écrans?)...
Enfin bref, je m'arrête ici, je
reviendrais sûrement plus en détail sur la série Alien dans un
futur article, mais si vous ne les avez pas vuz, attardez-vous y, il y
a de super coffrets comprenant la tétralogie (et non la quadrilogie qui est un barbarisme de l'anglais "quadrilogy") avec des bonus.
Jin-Roh,
la Brigade des loups
Pour l'instant le seul animé dans mon
top 10, il a tout pour plaire: de la gueule et un scénario béton.
À la fin des années 50, de nombreuses
manifestations et des mouvements rebelles secouent le Japon. Le
pouvoir met en place une répression lourdement armée dont fait
parti Kazuki Fuse. Lors d'une opération pour maintenir l'ordre, il
tombe nez à nez avec une jeune femme ressemblant au petit chaperon
rouge transportant une bombe. Celle-ci la fait exploser sous ses
yeux, Fusé est traumatisé par cet événement et il va rencontrer
la grande sœur du petit chaperon rouge, commence une relation
ambiguë entre les deux personnes...
Jin-roh est tout simplement magnifique:
la qualité de l'animation est à tomber par terre et l'histoire est
bien tordue comme il faut avec de nombreux rebondissements qui
accroche jusqu'au bout. L'histoire d'amour naissante est émouvante
et les relations entre les différents protagonistes sont assez
approfondies pour qu'on s'y croit. Dépassez tous vos jugements sur
les animés japonais et jetez-vous dessus!
Sunshine
Deuxième film de Danny Boyle (après
28 semaines plus tard) à figurer dans mon top10, Sunshine est l'un
de mes chouchous.
Alors que le Soleil menace de
s'effondrer sur lui-même, une équipe d'astronautes est envoyé sur
un vaisseau nommé Icarus II pour tenter de faire exploser une bombe
nucléaire qui entraînera une réaction en chaîne qui relancerait
les réactions permettant au Soleil de rester tel qu'il est. Une
opération de la dernière chance... Néanmoins, cette équipe
reçoive un appel de détresse: plusieurs années plus tôt, une
première équipe voguait sur le vaisseau Icarus I pour tenter la
même opération...
Sunshine est un film spatial avec une
bonne dose de suspens et un peu de fantastique. Au fond, c'est un
voyage philosophique vers les origines de l'être, la lumière, la
chaleur, le soleil... Mais ne croyez pas que c'est chiant: si vous
avez un équipement du tonnerre pour regarder vos films, vous en
prendrez plein les yeux et les oreilles (je l'ai vu la première fois
au cinéma, il m'a scotché à mon siège!). Haletant, prenant,
superbe... Les adjectifs me manquent devant ce film. Certes la
cohérence scientifique est critiquable, mais peu importe pour moi
sur le coup: ce film m'a transporté.
Ils ont subi la dure loi du choix, mais
je leur fait quand même une place dans cet article:
Predator: Un classique du cinéma
d'extraterrestre.
L'armée des morts: Haletant, un film
de zombie comme on aimerait en voir plus souvent.
Le tombeau des lucioles: émouvant,
émouvant et... émouvant.
Jurassik Park: Un grand classique du
cinéma!
Zombie (Dawn of the Dead): Le film à
l'origine de l'armée des morts, un autre point de vue sur les
zombies, un film qui dénonce le consumérisme et pas chiant pour un sou.
Battle Royale: Un bon film bien gore et
bien jouissif comme il le faut, fuyez le deuxième comme la peste.
Tremors: Des vers géants, des
américains qui tirent avant de réfléchir... N'en jetez plus! Décérébré et fun.
Poultrygeist: De la série Z comme on
en fait peu, Troma sait vraiment bien se débrouiller avec ce format
risqué!
Evil Dead: Fait avec 3 francs 6 sous
comme dirait l'autre, ce film (et surtout sa suite) est devenu un
classique du cinéma d'horreur comique.
Jusqu'en enfer: dans l'esprit d'Evil
Dead, on se croirait dans un train fantôme burlesque, jouissif.
Hot Fuzz: Dans la lignée de Shaun of
the Dead, très déjanté, mais un poil long malheureusement.
Aliens vs Predator 2: Requiem : Très
franchement on est loin du chef d'œuvre, mais j'ai pris beaucoup
plus
de plaisirs à le regarder que le premier, un plaisir décérébrée
à vrai dire.
La Classe Américaine: Bien fichu, et
jouissif. Certaines blagues ne volent pas très hautes mais tant pis.
OSS 117: Les deux épisodes avec
Dujardin valent vraiment le coup d'oeil, et prête à rire devant le
génie du jeu de Dujardin, beauf à souhait!
Tchaô Pantin! : Un film émouvant avec
un Coluche à contre-emploi.
Mensonges et trahisons et plus si
affinité: Un Édouard Baer en forme dans un vaudeville agréable.
Watchmen, les gardiens: Ok, 2h40, c'est
franchement long pour un film de super-héros mais Snyder a fait un
travail d'orfèvre sur ce film qui mérite le coup d'œil.
Machete: Rien que pour la classe de
Danny Trejo et son « Machete n'envoie pas de textos! ».
V pour Vendetta: Une VF soignée, un
film très palpitant, à voir.
Le Cinquième Élément: Un des seuls
bons Besson à mon goût.
La vie de Brian: Un autre Monthy Python
qui vaut autant le coup d'œil que l'autre!
Requiem for a Dream: Troublant,
dérangeant. Une expérience à vivre.
Cube: Une autre expérience
intéressante mais qui ne plaira pas forcément à tout le monde.
We Are Four Lions: Une satire comique
des terroristes, fallait oser, une satire comique intelligente des
terroristes, faut regarder!
American History X: Edward Norton
excelle dans le rôle d'un ex-néo-nazi repentant. Un film coup de
poing.
H2G2, le guide du voyageur intergalactique: Absurde
à souhait! Et n'oubliez pas, la réponse est 42.
Sleepy Hollow, la légende du cavalier
sans tête: Un peu gore, ce Burton est franchement bon.
Zombie Strippers: Des zombies, des stripteaseuses... Le tout pour un résultat vachement fun (et sexy aussi!)!
Sherlock Holmes: Robert Downey Jr. excellente dans le rôle du célèbre enquêteur, lui donnant un côté très dandy pas désagréable!